Ils étaient les hommes et les femmes du sable, du vent, de la lumière, de la nuit.


... en tête de la caravane, il y avait les hommes, enveloppés dans leurs manteaux de laine, leurs visages masqués par un voile bleu. Avec eux marchaient deux ou trois dromadaires, puis les chèvres et les moutons harcelés par les jeunes garçons. Les femmes fermaient la marche.


Désert. Le Clézio.

samedi 23 janvier 2010

Texte de Mabes. Libre réponse en forme de commentaire

Beaucoup de mélancolie dans ce message. Les réveils sont difficiles, la laideur des nouvelles nous imprègne et cabosse notre cerveau. Chaque journée nous demande un effort de transfiguration, se tenir loin des traumatismes provoqués par les diseurs du matin blême, les polémistes à la petite semaine, grassement payés, je ne dis pas honorés le mot serait trop beau pour eux. Le poison est insidieusement planqué dans les ondes radios et téléVIsuelles.
Le félin est beau quant à lui dans sa robe noire, blanche, ou tigrée.
Un chien soupire et songe à la liberté du loup.
Je cherche en moi l'énergie du Boudha.
Exit les marchands du Temple, les messagers libidineux, les diseurs de mauvaises aventures.
(Un livre de J.L.Ezine: Les Taiseux)

1 commentaire:

Mabes a dit…

merci Christian : oui c'était bien un moment mélancolique... quant à la radio radio-france-internationale, elle est digne de confiance, hélas...