... Reçu à la lecture du " Point" hebdomadaire du 16 Mars 2010. Dans un excellent article Elisabeth Lévy nous parle de l'exposition du Musée d'Orsay. En frontispice une terrible photo de la guillotine, "La Veuve", luisante de sang répandu et de crasse déposée par les deux siècles d'utilisation.
Elle dresse son sinistre squelette à l'entrée de l'exposition initiée par Robert Badinter ex-ministre de la justice, tombeur de la peine de mort, et de Jean Clair commissaire de l'exposition.
Je vous invite à vous procurer ce numéro du "Point" et à vous imprégner de la lecture de l'article.
Certainement une réflexion importante naîtra et vous méditerez sur la sauvagerie de cette peine qui fut pendant deux siècles la peine capitale de notre pays.
Remercions Jean Clair et Robert Badinter de ce travail entrepris.
Je vous donne à lire les premières lignes de l'article d'Elisabeth Lévy:
"Ce jour -là en arrivant au musée d'Orsay, les employés affectés à la sécurité ont eu un haut-le-coeur, peut-être même un moment de panique: la guillotine! Elle était là, dressée, symbole fascinant et effroyable, instrument de justice et en même temps arme du crime entre les crimes puisqu'elle a entamé sa carrière de prés de deux siècles en prêtant son concours à un régicide...".
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Ils étaient les hommes et les femmes du sable, du vent, de la lumière, de la nuit.
... en tête de la caravane, il y avait les hommes, enveloppés dans leurs manteaux de laine, leurs visages masqués par un voile bleu. Avec eux marchaient deux ou trois dromadaires, puis les chèvres et les moutons harcelés par les jeunes garçons. Les femmes fermaient la marche.
Désert. Le Clézio.
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