J'ai posé mon front sur l'arbre
et des larmes se sont écoulées de mes yeux.
Que dois-je te dire?
Merveilleux moment.
Étreindre l'arbre,
sous les doigts la sève en palpitations.
Sous les doigts l'écorce-
sa rugosité parfumée.
Sous les doigts la douceur de tes yeux, et tes lèvres et le chant intérieur de tes joies multiples,
le frémissement du corps.
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