Il y a du sang...dans les fissures de la pierre.
La roche est griffée par le burin, les chocs du marteau couvrent les plaintes de la pierre grise, pierre couverte des coquillages millénaires.
La roche cache une âme triste. Le mur se dresse, se couvre d'un toit, d'autres murs s'appuient, d'autres pierres saignent et pleurent, une pierre longue, immaculée dans sa simplicité, elle sera consacrée aux sacrifices, d'enfants nus éventrés, de femmes violées, de fausses messes et de libations, le vin d'une transmutation païenne.
Les nymphes et les fées Noires ricanent.
Un signe sur la pierre. Celui du tailleur et du travailleur parfois enchaîné.
Prolongement de la vie.
ÉTERNITÉ
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