Ils étaient les hommes et les femmes du sable, du vent, de la lumière, de la nuit.


... en tête de la caravane, il y avait les hommes, enveloppés dans leurs manteaux de laine, leurs visages masqués par un voile bleu. Avec eux marchaient deux ou trois dromadaires, puis les chèvres et les moutons harcelés par les jeunes garçons. Les femmes fermaient la marche.


Désert. Le Clézio.

vendredi 18 février 2011

Une douce Respiration.

1 commentaire:

croukougnouche a dit…

Agnès Obel est assez critiquée par une certaine catégorie de mélomanes, que je comprends , car , pour eux , cette musique est plutôt simpliste, mais franchement je ne partage pas leur réticence , car j'aime cette ambiance et cette voix , le piano , tout simple , comme sorti d'une histoire d'autrefois, je suis sous le charme.. tant pis pour les puristes..