Ils étaient les hommes et les femmes du sable, du vent, de la lumière, de la nuit.


... en tête de la caravane, il y avait les hommes, enveloppés dans leurs manteaux de laine, leurs visages masqués par un voile bleu. Avec eux marchaient deux ou trois dromadaires, puis les chèvres et les moutons harcelés par les jeunes garçons. Les femmes fermaient la marche.


Désert. Le Clézio.

dimanche 18 septembre 2011

ÉTREINDRE.






J'ai posé mon front sur l'arbre
 des larmes se sont écoulées de mes yeux.
Que dois-je te dire - merveilleux moment -
étreindre l'arbre,
sous les doigts la sève en palpitations,
sous les doigts l'écorce - sa rugosité parfumée -
sous les doigts la douceur de tes yeux, et tes lèvres, et l'intime de tes joies
multiples.

Sous mes doigts...

1 commentaire:

Mabes a dit…

magnifiquement ressenti et dit...