Le Jardin éternel, il bruisse en moi c'est le chant des oiseaux et le battement du cœur, le ruisseau de mes larmes, tes pas dans les allées cavalières, des jambes nues foulent le sable, elles se joignent en arcade.
Elles vont vers l'immense bâtisse, sa tristesse est grise, immense bâtisse en ruine annoncée.
Le branle de nos amours dans le secret d'un petit trianon gémit en contrepoint du chant de la cascade.
Le chavirement de ton corps...
Le Jardin éternel, il bruisse en moi.
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