Qu'il savait douce
chaude aux heures d'angoisse
et l'entraîna sur le chemin des douaniers escarpé à flanc de falaise.
Ses hanches balançaient.
Les seins suspendus en fruits éternels dansaient au rythme du chant des vagues en fracas sur les rochers.
Les cris des goélands effrayés faisaient se dresser le téton fragile.
Les embruns mouillaient en sperme, délicate frisure de la peau, senteur des abysses, les caches secrets de ce corps qu'il fit pénétrer dans l'anfractuosité de la roche.
©christian CAZALS 2010
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